>>> ANSA / Jeudi au Mdp les mesures contre les Chers projets de loi

17 Janvier 2022

>>> ANSA / Jeudi au Mdp les mesures contre les factures coûteuses

Sur la table, taxes sur les bénéfices, réduction de la TVA et des charges, fonds ETS, actions
ROME
di Stefano Secondino (ANSA) – Rome, 17 janvier – Jeudi les mesures contre les Chers projets de loi arrivent en Conseil des ministres, qui pourraient être incluses dans un décret ad hoc. Le gouvernement devra choisir entre différentes options: taxation de l’Etra Le prix du pétrole atteint quant à lui un plus haut en 7 ans, et l’Istat calcule qu’en 2021, l’inflation était la plus élevée depuis 2021 (+1,9% sur l’année, mais +3,9% en décembre). Les associations de consommateurs prédisent un enjeu pour les familles en 2022 de 1 200 à 1 400 euros. La Confindustria relance le cri de douleur des entreprises, mais demande que la table sur les Chers projets de loi, prévue mercredi au ministère du développement économique soit amenée directement au Palazzo Chigi. Cinquestelle, Lega et Pd se sont déjà prononcés en faveur d’un écart budgétaire pour lutter contre les factures coûteuses. Mais jeudi au Cabinet, le choix des armes ne sera pas facile. Le ministère de la transition écologique (Mite) les a rassemblés dans un document en dix points, qu’il a présenté lors des festivités de Noël au Palazzo Chigi. Presque toutes les forces majoritaires se sont prononcées en faveur d’une taxation des bénéfices électroniques réalisés par les entreprises énergétiques en raison de la hausse des prix du gaz. Ils appellent cela une « contribution de solidarité ». La volonté politique est là, il faut voir s’il y aura la force de l’imposer. La manière de réduire la TVA, soutenue entre autres par Cinquestelle et Lega, est également difficile. Ce serait très cher et cela prendrait du temps. Plus facile de réduire les charges du système qui pèsent sur vos factures. Parmi ceux-ci, la contribution au démantèlement des centrales nucléaires (avec l’Acarien maintenant décidé de mettre en service la Sogin). Jeudi, le gouvernement pourrait également décider d’une augmentation de la production nationale de gaz: des 4, 5 milliards de mètres cubes actuels par an, elle pourrait passer à 8 milliards, pour remplacer les importations. Lors d’une réunion aujourd’hui au Palazzo Chigi, les techniciens du ministère du Développement économique (Mise) ont examiné deux sources de financement possibles pour calmer les factures: l’Etra Aujourd’hui, il a également été question d’établir des stocks de gaz stratégiques pour les entreprises, afin de les protéger de la volatilité des prix internationaux. Ces derniers restent élevés. Le prix du pétrole a atteint 86,3 dollars le baril, le plus élevé en 7 ans. L’Istat a certifié que l’inflation de 2021 était la plus élevée depuis 2012: +1,9%, tirée par les produits énergétiques. Mais en décembre, il avait atteint +3,9%. Coldiretti informe que l’année dernière, le prix du diesel agricole a augmenté de 50%. Et en fait, le “panier”, c’est-à-dire le panier de la plupart des biens de consommation, a augmenté de 2,4% en décembre. Les Codacons pour 2022 calculent une mise pour la famille typique de 1 200 euros, l’Union des consommateurs atteint 1 400. Un seul signe d’espoir vient du Centre d’étude Intesa Sanpaolo: il s’attend à une baisse des prix du gaz et de l’énergie cette année. Le rendez-vous pour l’instant est mercredi à la Mise, où le ministre Giancarlo Giorgetti a convoqué les entreprises pour discuter des caro-factures. Mais la Confindustria ne suffit pas. Le responsable de l’énergie, Aurelio Regina, a réaffirmé aujourd’hui que son organisation “continue d’exiger de toute urgence, et aussi de manière persistante, l’ouverture d’une table interministérielle au Palazzo Chigi”. (Boucle).